• <center><div class="rondprez"><br><div class="fondprez"><div class="gly-liens-01"><div class="gly-main" style="background-image: url('http://image.noelshack.com/fichiers/2015/26/1435499958-sans-titre-5.jpg'); height: 300px;"><div class="gly-in"><p class="gly-title">Loan Aki Maeda</p><div class="gly-resume"><div class="gly-text" style="height:300px;">Loan n'est pas vraiment méchant, disons plutôt qu'il lui arrive d'être... maladroit. Il a tendance à être un peu égoïste, ce qui fait qu'il ne se met pas souvent à la place des autres, et du coup, il peut passer à côté de certaines choses, dire ce qu'il ne fallait pas... Cela lui a souvent posé soucis et c'est ce qui a déclenché le plus grand changement dans sa vie, autant dire qu'il aime de moins en moins cette partie de lui-même et qu'il essaie d'y remédier depuis !

    En fait, il est un peu bizarre le Loan. Il a un peu de mal avec les gens en général. La société, les codes culturels, tout ça. Il faut dire qu'il est issu d'une famille assez mixte, qui mélange plusieurs cultures parfois contradictoires, alors ces histoires, ça a vite fait de le gonfler. Du coup il n'est pas super sociable. Bien sûr, il sait comment se comporter, il a bien été obligé d'apprendre, mais ne soyez pas étonné par ses comportements ou remarques parfois décalés.

    Par contre, il adore les animaux. Il a un petit côté écolo, Loan, il est concerné par la planète, tout ça, et il trouve souvent que les animaux sont meilleurs que les hommes sur bien des points. Il s'intéresse beaucoup à leur comportement, et bien que ces derniers soient parfois aussi compliqués niveau codes sociaux que les hommes, là, ça ne le gêne plus le moins du monde bizarrement. Éthologue fait d'ailleurs parti des principaux métiers qu'il a en vue.

    Il ne s'entend pas super bien avec sa moitié. Il faut dire qu'il entretient un rapport très particulier avec la question daemonienne en général. Et puis il bénéficie de circonstances atténuantes. Comprenez-le, il est né « entier », fusionné à son âme, et tout d'un coup, bim, on les sépare! Bien sûr que ça fait tout drôle, et c'est la source d'énormément de troubles et de questionnements chez lui. Autant dire qu'il est loin de s'être habitué à sa nouvelle condition pour le moment. Il est donc en pleine reconstruction, et c'est loin d'être évident.

    A vrai dire, Loan traverse une période carrément difficile de sa vie. Il se sent incroyablement seul, du fait de ses difficultés de communication avec sa moitié, et du fait qu'il se retrouve tout d'un coup projeté dans une nouvelle université, sans aucun repère, entouré de gens qu'il connaît peu mais qu'il a en rogne.

    Oui, car Loan n'aime pas beaucoup les daemoniens. Il n'en a pas croisé beaucoup dans sa vie, et les rares expériences qu'il a eu a leur contact étaient globalement négatives, surtout la dernière, alors il les a carrément en grippe. Autant vous dire que se retrouver dans une ville remplie de gens comme eux ne l'enchante guère, et asocial et entêté comme il est, il ne sera pas si aisé de le faire changer d'avis! On pourrait croire que l'apparition de sa moitié aurait changé son caractère d'une façon ou d'une autre, puisqu'elle était autrefois en lui pour le contrebalancer, mais cela l'a tant chamboulé qu'il est pour le moment difficile d'en juger.

    </div></div></div></div></div><center><span style="font-family: arial; color:#E9E4E4; font-size: 8px"><b>Dev Nerd Girl - RPG Stuff</b></span></center>
    <span class="citationprez">« Ici, une petite citation »</span>

    <span class="labelprez">Nom et Prénom : </span>  Maeda Aki Loan
    <span class="labelprez">Âge : </span>19 ans
    <span class="labelprez">Lieu de naissance : </span>Il est né et a passé une bonne partie de sa vie en Alaska
    <span class="labelprez">Groupe : </span>Citoyen daemonien
    <span class="labelprez">Étude ou Métier : </span>Étudiant en Sciences de la Vie

    <span class="labelprez">Pouvoir : </span>Animorphose

    Il ne le sait pas encore, car il n'a pas encore découvert son don (même s'il se doute qu'il en a un, il n'a pas trop envie de savoir pour l'instant, seule Ame est curieuse à ce sujet), mais il peut se transformer en loup arctique, en harfang des neiges et en panthère des neiges. Il est intéressant de noter que ces animaux sont tous issus de milieux froids et désertiques, bien que le harfang des neiges soit le seul que l'on retrouve en Alaska, son état natal. Il sera peut-être capable de se transformer en d'autres animaux plus tard, mais ça, seul le temps nous le dira...

    NB : J'aimerais travailler les avantages et inconvénients des transformations en RP, l'idée étant qu'il peut perdre le contrôle en étant transformé, en se laissant emporter par les instincts de l'animal, mais qu'Ame l'aide à reprendre le contrôle. Cela le fatiguerait aussi probablement beaucoup (limite ça lui fait faire une hypoglycémie à chaque fois, surtout au début). Comme il adore les animaux, cette capacité pourrait lui faire apprécier petit à petit d'être daemonien, car il perdrait ce pouvoir en redevenant humain.

    Je me demandais s'il était possible (une particularité familiale, peut-être) que son don puisse s'étendre à son daemon (qu'Ame aussi soit capable de se transformer, plus ou moins dans la même mesure que Loan) ou si ça n'est pas possible du tout.
    </div>

    <div class="fondprez"><div class="gly-liens-01"><div class="gly-main" style="background-image: url('http://image.noelshack.com/fichiers/2015/26/1435497673-animal-presentation.jpg'); height: 300px;"><div class="gly-in"><p class="gly-title">Ame</p><div class="gly-resume"><div class="gly-text" style="height:300px;">Loup de Sibérie

    Son nom vient d'un jeu de mot. Loan a en effet découvert que « ame » (soit « pluie » en japonais, un prénom répandu au Japon) s'écrit comme le mot français « âme » (même si la prononciation est différente). Or, eh bien il pleuvait lorsqu'Ame est apparut. D'où le jeu de mot, même si à bien y réfléchir, Loan serait sans doute capable de vous sortir d'autres raisons d'avoir nommé son daemon ainsi.

    Enfin, c'est ce qu'il pense. Bien sûr, Ame est intimement liée à Loan, mais depuis qu'elle marche à côté de lui plutôt que de faire parti de lui, plus rien n'est pareil. Il lui a suggéré ce nom, elle l'a accepté, mais pas pour les mêmes raisons.

    Ame se souvient de la vie de Loan depuis le début, enfin autant que lui même s'en souvienne en tout cas. Tous les souvenirs qu'il a avant de devenir daemonien, elle les possède de manière plus ou moins complète. Ils n'ont jamais sérieusement vérifié, mais elle ne semble pas avoir vu le monde différemment de lui pendant tout ce temps, et pourtant, maintenant qu'elle marche à ses côtés, elle présente un caractère tout à fait différent.

    D'abord, elle l'a obligé à se mettre au sport. Bien sûr, il en faisait déjà mais pas de ce genre. Elle l'a obligé à se mettre à la course, et sérieusement ! Ame aime courir. Ce n'est pas juste parce que c'est une louve, c'est réellement dans son caractère, elle en a besoin, et elle utilise ce moyen comme défouloir. Ils font donc régulièrement des jogging. Au début, Loan râlait beaucoup, mais il s'y fait, et Ame sent qu'il commence à y prendre goût.

    Ensuite, Ame recherche beaucoup plus le contact avec son daemonien que l'inverse, autant du point de vue physique que mental. Loan a tendance à la repousser, comme s'il réfutait toujours son nouveau statut de daemonien. Il voit les daemoniens et leurs daemons d'un mauvais œil et n'a pas envie de se joindre à eux ni de sympathiser. C'est tout l'inverse pour Ame, elle veut en savoir plus, elle veut discuter, elle veut se faire des amis, et agrandir un peu leur « meute », pour le moment désespérément vide. Elle se questionne également beaucoup sur elle-même, sur le fait qu'elle est désormais à côté de Loan au lieu de ne faire qu'un avec lui.

    Au début, elle partageait son point de vue qu'ils étaient bien mieux fusionnés. Mais plus le temps passe, et moins elle en est sûr. Ce dont elle est certaine, par contre, c'est qu'elle aimerait bien que son daemonien s'ouvre d'avantage à elle. La distance qu'il continue de mettre entre eux de manière plus ou moins consciente la blesse, et risque de finir par engendrer des conséquences fâcheuses pour eux deux.

    Elle partage en partie sa passion des animaux, mais ce qui l'intéresse encore plus, c'est les comportements humains. Elle les trouve fascinants. Si elle pouvait suivre des cours d’ethnologie pendant que Loan suivait son cursus de sciences de la vie, elle en serait ravie !
    <br><br></div></div></div></div></div>
    </div>

    <div class="fondprez"><center><div class="titreprez">My story is a long story...</div></center>
    <div class="zonehistoire">Vous savez, la plupart des daemoniens naissent daemoniens. Leur daemon apparaît à la naissance, puis il fixe sa forme à l'adolescence, période vers laquelle le don apparaît également, tout ça. Sauf que ça ne se passe pas toujours comme ça. Il y a des exceptions. Loan en fait partie.

    Il est né dans une famille « normale », non daemonienne. D'ailleurs, il y avait très peu de daemoniens tout court dans la région de l'Alaska où il habitait. Issu d'une famille mixte, il a des origines à la fois japonaises et françaises (plutôt du côté breton) et ses parents tenaient beaucoup à ce qu'il apprenne la culture de ses parents, ce qui inclus leur langue, et pour eux cela englobait le japonais, le français et le breton. Cela aurait pu faire de lui un enfant quadrilingue, mais cela échoua. Oh, il paraît que ce genre de chose est possible, là n'est pas la question, mais ils ne s'y prenaient pas forcément très bien. Seuls ses grands parents maternels parlaient bretons, et il les voyait assez rarement, autant dire qu'il n'y connaît pas grand chose, il comprend vaguement mais est bien incapable de former une phrase.

    Il a heureusement mieux assimilé les autres langues, si bien qu'il parle couramment anglais, presque aussi bien japonais et qu'il se débrouille plus ou moins en français. Néanmoins, il oublie vite car il ne pratique pas en dehors des moments où il se sert de ces langues avec sa famille. C'est une des choses sur lesquelles Ame a eu un impact positif car elle le force à travailler ces langues. Elle trouve cela très important.

    Pour ce qui est des cultures, par contre, rien à faire. Petit, Loan allait parfois au Japon rendre visite à la famille japonaise restée là bas. Il n'a absolument pas apprécié l'expérience, car il était très souvent mis à l'écart du fait d'être un « haafu », quelqu'un ayant un parent japonais et un parent étranger, chose qui se voit et qui entraîne tout un tas de conséquences souvent désagréables pour les intéressés. De plus, la culture japonaise est assez complexe et parfois contradictoire avec la culture française et/ou américaine, si bien qu'il en a vite eu marre d'essayer de s'adapter selon s'il rendait visite à la famille en France ou au Japon.

    Ces excursions à l'étranger étaient limitées aux périodes des vacances, et Loan grandit principalement en Alaska, un endroit très particulier, avec des paysages magnifiques et une nature sauvage. Il a eu beau grandir en ville, il était attiré par cette nature, qu'il trouvait magnifique, et qui l'attirait profondément. Il n'hésitait pas à clamer que les plus beaux paysages du monde se trouvaient là, chez lui, et il insista auprès de ses parents pour s'initier au traîneau afin de pouvoir se rapprocher de cette nature. Ses parents étaient plutôt réticents mais finirent par accepter, l'accompagnant systématiquement au début, puis le laissant peu à peu indépendant.

    Loan passait beaucoup de temps seul, à observer la nature. Il apprit beaucoup sur les oiseaux du coin. Il était particulièrement fasciné par les rapaces, bien qu'il s'amusait également beaucoup à imiter les hurlement des loups. Il apprit à s'occuper des chiens de traîneau, et se désolait de ne pouvoir en avoir.

    Néanmoins, il était ouvert et eu tôt fait de découvrir que le monde était encore plus vaste, et qu'il y avait tout un tas d'animaux étonnants et qui lui étaient pour beaucoup totalement inconnus à travers le monde.

    Loan, c'était le genre de gamin à avoir plein de figurines d'animaux et de dinosaures. Et il les a encore d'ailleurs, quelque part dans un carton, probablement chez lui, en Alaska. Il n'en a pas ramené beaucoup à Merkeley.

    Du coup, la première fois qu'il a rencontré un daemonien, il était enchanté. Quelqu'un qui se balade avec son âme à côté de lui sous forme animale ! Ça doit être génial ! Hélas, il était jeune lors de cette première rencontre, et il ne connaissait pas du tout les daemoniens, alors il fit la bourde à ne jamais faire : il toucha le daemon de la personne à main nue.

    Il faut dire que la personne en question était un jeune garçon, pas bien plus âge que lui et guère conscient de la nécessité de cacher sa nature daemonien, étant donné qu'il venait d'un village isolé où être daemonien était normal et accepté. Il n'avait pas non plus pensé à préciser qu'il ne fallait pas toucher le daemon de quelqu'un, tant cela lui paraissait évident. Autant dire qu'il le prit extrêmement mal. Loan se prit un bon poing dans la tronche et n'entendit plus jamais parler de lui.

    Cette première rencontre plutôt négative conditionna rapidement son aperçu de la question comme plutôt négatif, bien qu'à l'époque, il n'ai pas bien comprit ce qu'il s'était passé. L'existence des daemoniens n'était pas officielle, ses parents ne le crurent pas lorsqu'ils lui demandèrent des explications, alors il oublia. Il grandit en restant amoureux de grands espaces, de paysages sublimes, de randonnées, et comme il n'avait pas toujours la possibilité de partir en vadrouille dans la nature mais qu'il n'était pas devenu très sociable pour autant, il se mit aux jeux vidéos en ligne.

    Oh, il eu des amis, bien sûr, mais pas beaucoup. Rares furent ceux qu'il ne perdit pas de vue, mais ses amis comptaient beaucoup pour lui. Il était du genre loyal, à ne pas cafter et à filer un coup de main quand l'un d'eux avait une idée de bêtise en tête, par contre il est également très rancunier et pardonne difficilement. Son côté un peu brut de pomme lui a causé plusieurs engueulades et bagarres, mais ceux qui le connaissent bien savent passer outre et désamorcer les désagréments que cela peut causer.

    Et puis l'existence des daemoniens fut rendue publique. Il se remémora alors cette rencontre, il y a longtemps, et en se renseignant un peu sur eux, il comprit son erreur et eu un peu honte.

    Il chercha donc à repartir de zéro avec les daemoniens, et eu ainsi une histoire d'amour avec une daemonienne. Il ne savait pas qu'elle l'était au début, mais elle ne tarda pas à le lui révéler lorsque leur relation devint sérieuse. Néanmoins, son daemon était une grenouille dont la peau était hautement toxique, et elle n'était pas immunisée contre son poison, ce qui faisait que même elle ne pouvait le toucher, ce qui la frustrait énormément.

    Loan se renseigna pour voir s'il était possible de l'immuniser de façon médicale, mais il ne trouva rien. Mais il l'aimait, alors il continua à chercher. Et comme cela touchait à un domaine qui l'intéressait beaucoup, il proposa même quelques expériences carrément risquées, qu'il entreprit sans en parler à des adultes car devinant que cela serait jugé comme trop dangereux. Résultat, sa petite amie manqua de se tuer avec le poison de son daemon, et lui même se fit accidentellement empoisonné au passage, incident qui fit que sa petite amie se décida à couper avec lui.

    Cela l'affecta énormément, car il l'aimait. Peut-être d'un simple amour d'ado passionné qui aurait fini par disparaître, mais au moment de la séparation, il ressentait toujours des sentiments forts pour elle, et il eu du mal à s'en remettre.

    Alors il se referma sur lui même. Il repoussa ses rares amis, s'enferma dans ses jeux vidéos ou s'isolant dans la nature. Ici, il y avait moins de problèmes. Même si les beugs de ses jeux favoris l'énervaient, même si la nature était dangereuse, cela en faisait pas aussi mal que la blessure ouverte de son cœur.

    Il n'avait pas encore digéré sa rupture lorsqu'il la rencontra. Il pleuvait. Il était dans un mauvais jour, et lorsqu'il rencontra une jeune femme abordant vaguement le sujet des daemoniens, il se lâcha, disant les pires débilités que les anti-daemoniens de base pouvaient débiter. Il ne les pensait pas vraiment, mais aucun contact avec des daemoniens ne s'était soldé positivement dans son expérience, alors il commençait à en avoir sa claque. Alors ses mots dépassaient sa pensée. Il était tellement plus facile de blâmer les autres plutôt que de reconnaître ses propres erreurs.

    En voyant cela, la femme décida de l'aider à comprendre. Elle prit la tête du jeune garçon entre ses mains sous le regard surpris de Loan, puis soudain, il hurla.

    Cela ne dura sans doute pas longtemps, quelques secondes tout au plus, mais il eu l'impression que cela avait duré une éternité. Quand il rouvrit les yeux, la femme s'était déjà éclipsée, les gens autour de lui le regardaient bizarrement, et il se sentait vide, incomplet. Ce n'est que lorsqu'il posa les yeux sur le loup apparut à ses côtés qu'il prit conscience du lien qui les unissait qu'il comprit ce que la femme, une daemonienne, venait de faire.

    Il hurla à nouveau.

    Lorsque ses parents l'apprirent, ils lui suggérèrent aussitôt d'aller à Merkeley, mais Loan était réticent. Il était bien ici, et il préférait être dans un milieu connu pour gérer ce... problème.

    Car oui, ce qui lui était arrivé était un problème à ses yeux. De toute évidence. Il avait beau savoir que la louve à ses côtés était une partie de lui, il la considérait comme une étrangère. Il préférait laisser le chat de la maison dormir avec lui plutôt que de laisser Ame approcher trop près de son lit, et cela leur faisait très mal.

    Ses parents non plus ne savaient pas trop comment se comporter, en particulier avec Ame. Au début, ils essayèrent de la traiter comme un vulgaire chien, mais elle eu vite fait de leur expliquer que ça ne marchait pas comme ça. Elle avait une intelligence humaine, bien qu'ayant un corps animal, et elle était liée à Loan. Elle était aussi leur fille, quelque part. Ils comprirent assez vite le message et s'adaptèrent avec une rapidité étonnante.

    Ils étaient compréhensifs, ils n'étaient absolument pas hostiles aux daemoniens, et ils firent des efforts pour se renseigner pour aider leur fils, mais leurs conseils tombaient dans l'oreille d'un sourd. Loan ne voulait pas les écouter.

    Au départ, il resta cloîtré chez lui, comme s'il avait honte. D'autant que se balader avec un loup à ses côtés est tout sauf discret. Il s'entêtait toujours à voir la situation comme une épreuve, un problème à résoudre, quelque chose qui était réversible, qui pouvait se « guérir ». Et puis il décida de retourner aux sources : il retourna s'isoler dans la nature.

    C'est seulement à ce moment là qu'il s'aperçut que la distance maximale dont il pouvait s'éloigner d'Ame était plus courte que la moyenne, ce qui l'énerva encore plus. Alors il bouda pendant une bonne partie du trajet, jusqu'à ce qu'Ame tente le tout pour le tout et le bouscule, excitée par le milieu sauvage propice à ce genre de jeux.

    Loan ne réagit pas très bien au départ, mais il avait besoin d'évacuer lui aussi, alors il répondit à la bousculade. Un peu trop violemment d'ailleurs, mais il le regretta aussitôt en se sentant lui aussi endolori. Mais ils continuèrent. Il s'adoucit, et ils terminèrent tous les deux à quatre pattes, à se chamailler comme deux louveteaux. Puis Ame hurla, heureuse d'avoir fait ce premier pas avec son daemonien, et Loan se joignit à elle comme il pouvait, heureux d'enfin découvrir un bon côté au fait d'avoir son âme à côté de lui.

    Cette complicité nouvelle ne les quitta jamais, même s'ils n'ont encore jamais connu de moment aussi intense. Loan continue de s'obstiner à chercher une solution, et il repousse toujours Ame, mais moins qu'avant. Elle sent qu'il se rapproche, qu'il commence à l'accepter, à s'accepter en tant que daemonien. La première fois qu'elle s'était fait mal, un objet lui était tombé dessus et l'avait blessée, et il n'avait pas accouru, alors pourtant qu'il avait ressentit la même douleur, il avait même saigné lui aussi. Peu après leur balade, elle marcha sur une punaise tombée par mégarde, et cette fois, il accouru aussitôt. Cette évolution avait fait un bien fou à Ame, et à Loan aussi même s'il semblait toujours chercher à le cacher, comme inquiet à l'idée d'accepter sa condition de daemonien.

     

    Ses parents avaient également remarqué cette évolution, et cherchèrent à l'encourager dans cette voie. Il se rebutait toujours, mais continuait à refuser de sortir si ce n'est pour aller dans la nature. Il finit donc par accepter d'aller à Merkeley. Ses parents pensaient que ça l'aidera à s'accepter tel qu'il était désormais, mais Loan avait plutôt en tête de s'aider de cette grande concentration de daemoniens pour trouver quelqu'un ayant un don permettant d'inverser ce qui avait été fait par cette femme daemonienne...
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  • Isil Amaën
    Étranger, Faël de cœur, Voyageur

     

     

    Nom : Amaën
    Prénom : Isil
    Sexe : Homme
    Âge : 20 ans
    Lieu de Naissance : Probablement Gwendalavir, peut-être dans la région d'Al-Vor
    Peuple : Faël (mais c'est un alavirien de naissance)
    Métier : Voyageur


    Description Physique

    Isil a un physique vraiment étonnant. Oh, il n'a pas de balafre sur le visage ni rien de ce genre, son originalité tiens dans le mélange entre Faël et alavirien. Les gens ont tendance à le croire Faël au premier abord, car il a la peau très bronzée, est légèrement plus petit que les autres alaviriens et a une grâce féline et une agilité qui rappelle les Faëls. Mais très vite, ils se rendent compte de leur erreur en voyant ses oreilles non pointues, sa peau en réalité légèrement moins sombre que celle d'un Faël et son visage alavirien malgré son style vestimentaire faël. Il commence à utiliser quelques objets et vêtements alaviriens mais c'est très discret. Il a en général l'air sûr de lui à la manière des Faëls, il se déplace avec assurance et souplesse et il use beaucoup de peintures, particulièrement sur son visage. Ainsi, un trait de peinture barre souvent chacune de ses joues. Il utilise une peinture orange ou bleue la plupart du temps, et il la produit lui-même pour être sûr de ne pas tomber sur des cochonneries. Il a aussi une nette tendance à grimper partout et ne s'en cache pas, ce qui n'est pas toujours du goût de tous le monde car ses capacités en la matière, semblable à celles des Faëls, font en ville penser à un marchombre.


    Caractère

    Physiquement, on voit qu'Isil est le fruit de deux peuple par son sang alavirien et ses attitudes de Faël. Mais autant son apparence laisse place au doute, autant son esprit est clairement Faël. Le premier signe est que sa langue maternelle est le faël, cela s'entend d'ailleurs quand il parle : il a un accent et il a parfois du mal quand il discute en alavirien. Il a également une certaine arrogance propre à son peuple de cœur, et il est totalement allergique à toute forme de hiérarchie, ce qui est une des raisons pour lesquelles il est toujours en vadrouille. Il se pense Faël même si ses parents étaient alaviriens, mais il est intrigué par son peuple d'origine même s'il ne se l'avouera jamais. Il a également un don du Dessin assez important est s'intéresse beaucoup à l'Art du Dessin, mais son esprit Faël n'est pas adapté à l'Académie des Dessinateurs. Il n'y a pas que le Dessin ceci dit, il est curieux de façon plus générale.

    Tout comme les Faëls, il voue une haine féroce aux Raïs, et n'hésite pas à aller dans des zones dangereuses seul. Il est débrouillard et est sûr de lui, un peu trop même.


    Histoire

    Elil et Ane forment un couple Faël ordinaire, selon les critères de leur peuple bien entendu. Enfin, jusqu'à cette soirée où ils traînaient dans la forêt de Baraïl, à la tombée de la nuit. Ils aperçurent alors un couple d'alaviriens voyageant seul, probablement des dessinateurs car ils s'éclairaient avec des flammes sortant de nulle part, qui suivait leurs déplacements. Le couple décida de s'amuser à les suivre, se moquant de leur maladresse, car il était évident qu'ils n'avaient pas l'habitude de voyager. Leurs vêtement semblaient indiquer un certain statut, mais s'ils étaient des Dessinateurs de l'Empire, cela n'avait rien d'étonnant. Ce qui l'était, par contre, c'était le fait qu'ils aient un bébé avec eux. Les Faëls ne manquèrent pas d'échanger des commentaires réprobateurs sur ces alaviriens prétentieux qui s'aventuraient dans un voyage avec un enfant si jeune, et en plus sans avoir l'air bien sûr d'eux quant à leur direction. Ils aperçurent alors un tigre des prairies qui suivait la famille alavirienne, et décidèrent de les laisser s'en débrouiller avec un sourire goguenard. Cela leur apprendrait, à ces alaviriens prétentieux !

    Hélas, rien ne se passa comme prévu.

    Alors qu'ils continuaient leur route, les flammes s'éteignirent brusquement, sans raison apparente. Les deux Dessinateurs s'échinèrent aussitôt à les faire réapparaître, mais le tigre choisit cet instant pour attaquer. Les Faëls, pensant les alaviriens aptes à se débarrasser de l'animal, étaient trop loin pour réagir rapidement et l'obscurité brusque les empêcha d'utiliser leurs arcs. Ils se précipitèrent aussitôt mais ne réussirent qu'à sauver le bébé, qui hurlait pendant que ses parents criaient à côté de lui.

    Les Faëls savaient que les parents étaient déjà morts quand ils secoururent l'enfant. Ils ne savaient pas quoi faire de ce petit alavirien braillard mais ils se sentaient tout deux terriblement coupables. Ils savaient pour le tigre, et ils avaient le sentiment d'avoir laissé des alaviriens se faire tuer. Ils décidèrent donc d'adopter leur enfant, et ils l'élevèrent comme le leur, parmi les Faëls, avec tout l'amour possible.

    C'est ainsi que grandit Isil Amaën. Il ne savait pas où il était né et ne connaissait même pas son vrai nom, mais il n'avait pas l'air de s'en soucier plus que ça. Avec son frère cadet adoptif, Brimil, il eu une enfance parfaitement normale, la plupart des Faëls le considérant comme un des leurs sans trop de problème. Bien sûr, Isil avait conscience d'être différent. Il était plus grand que la plupart des Faëls et sa peau était un peu plus claire que la leur. Les traits de son visage étaient alaviriens, et ses oreilles étaient normales, mais son éducation, probablement, fit qu'en grandissant, il continuait de ressembler à un Faël malgré tout. Étant alavirien, il aurait pu devenir un grand homme baraqué, mais il était au contraire tout en finesse, à la manière des Faëls, et il les égalait presque dans leurs domaines de prédilection tels le tir à l'arc ou l'escalade. Comme son peuple d'adoption, il apprit à moquer les défauts des humains, bien que l'on dise souvent de lui qu'il avait leur arrogance, et il apprit à haïr les Raïs. Mais surtout, il avait l'esprit de liberté et d'indépendance des Faëls.

    Jeune, évidemment, ils ne lui racontèrent pas tout de suite toute la vérité. Il se rendit compte seul des différences physiques entre lui et les autres et on lui expliqua qu'il était de sang alavirien, mais que ça ne changeait rien. Il se contenta donc de ça. Il devina vite avoir été adopté mais même s'il en ignorait les raisons, il s'en sentait chanceux quand il écoutait les histoires des Faëls sur les alaviriens. Il grandit donc très heureux de son sort, s'épanouissant parfaitement parmi les Faëls, ce peuple étant ouvert.

    Et puis en grandissant, il découvrit le Don du Dessin. Ce fut une découverte très surprenante, pour lui autant que pour les autres Faëls, étant donné que le don du Dessin était propre aux alaviriens. Cette découverte fut plutôt bien accueillit, et ne surpris pas vraiment ses parents adoptifs, qui savaient que les parents d'Isil étaient des Dessinateurs.

    Très vite, Isil se prit de passion pour se don incroyable, surprenant et surtout, très mystérieux à ses yeux. En effet, les Faëls n'ayant pas le don du Dessin, ils savaient très peu de choses sur le sujet, et Isil avait beaucoup de mal à trouver quelqu'un susceptible de le renseigner. Il se tourna vers ses parents, leur demandant si ces parents aussi avaient ce Don. C'est à ce moment là qu'Ane et Elil lui racontèrent vraiment ce qui s'était passé.

    Comme ils le craignaient, Isil prit très mal le récit, considérant lui aussi que ses parents auraient du se comporter avec plus de discernement. Il décida alors de partir pour Gwendalavir, afin d'en apprendre plus sur son Don et, éventuellement, sur ses parents. Après tout, des Dessinateurs qui étaient partis seuls avec un enfant dans la forêt de Baraïl, les gens devaient s'en souvenir !

    Hélas, il se rendit vite compte que les choses n'allaient pas être aussi faciles en arrivant dans le premier village alavirien : il avait oublié qu'il ne comprenait rien à leur langue, ne parlant que Faël. Il savait cependant qu'il y avait une Académie de Dessinateurs à Al-Jeit, et il décida donc de s'y rendre, comptant bien profiter du voyage pour apprendre l'alavirien.

    Il finit par arriver à destination, et son niveau en alavirien était devenu potable. Il avait également réussit à glaner des informations sur le Dessin, et se présenta donc à l'Académie, mais il ne fut pas accueillit aussi bien qu'il le pensait, tout particulièrement car son comportement n'était pas adapté à un tel endroit. L'esprit libre d'un Faël est à peu près aussi compatible avec le système de l'Académie qu'un marchombre est fait pour être enchaîné, c'est à dire pas du tout. Il avait pourtant un don certain, assez fort pour être digne d'intérêt et qui aurait permis à n'importe qui d'autre d'intégrer l'Académie, don ou pas, mais son comportement et des petits soucis de communication firent que les choses s'avéraient beaucoup plus compliquées pour lui.

    Et puis, il y eu cet événement. Un jour qu'Isil en avait marre que les professeurs le snobent alors qu'ils avaient admis qu'il avait un don plus fort que la moyenne, il débarqua en plein court. Le professeur le donnant étant du genre irascible au dernier degré, il mit Isil au défi de colorer une boule alors présente en rouge. S'il réussissait, il serait admit, sinon il devrait partir sur le champ. Isil pensa alors qu'on se fichait vraiment de lui, et il s'exécuta sans aucune difficulté, ce qui provoqua aussitôt l’émoi dans la salle. Ils parlaient tous tellement vite qu'Isil n'arrivait pas à comprendre ce qu'il se passait, mais il n'avait pas besoin d'être un devin pour comprendre que visiblement, il n'était pas sensé réussir.

    Il comprit plus tard qu'un gommeur était présent dans la pièce, empêchant ainsi à toutes les personnes présentes de dessiner. Toutes, sauf lui. Cette particularité éveilla aussitôt l'intérêt des professeurs, qui se demandaient si c'était lié à son don, où – serait-ce possible – à son éducation faëlle. Mais Isil n'apprécia pas de passer au statut de sujet d'études, car en attendant, tous le monde refusait toujours de répondre à ses questions et de lui apprendre le Dessin, et il finit par quitter l'Académie.


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  • En fait, c'est une idée un peu spéciale mais c'est pour ça que je l'aime. J'ai pas vraiment envie de faire un vrai Faël, je trouve ça trop "facile", trop classique comme idée, et j'ai pas non plus envie de faire un perso humain avec du sang Faël ou un demi-Faël, c'est trop classique aussi, du coup j'ai pensé à un autre truc : un humain qui, bébé ou en tout cas tout jeune, aurait été recueillit puis élevé par des Faëls.

    A priori, se serait un mec (j'invente beaucoup de persos mecs en ce moment dis donc Oo), plutôt fin, grand par rapport aux Faëls mais pas spécialement par rapport à des humains normaux (voir plutôt petit). Il parle Faël, pense comme un Faël, s'habille comme un Faël et est presque aussi doué qu'un Faël pour tout ce qui est tir à l'arc, équitation et escalade (et il a les techniques secrètes pour murmurer à l'oreille des chevaux comme Erylis x) ). Mais il finit par vouloir voir comment sont les humains, surtout qu'il en est un après tout (et peut-être qu'il serait fasciné par l'art du Dessin parce qu'il le possède un peu, mais pas assez pour devenir dessinateur), sauf qu'en débarquant, il aurait le barrage de la langue vu qu'il parle pas Alavirien x)


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  • Bon, en fait, la seule idée pour le perso que j'ai, c'est son pouvoir (ah, et le fait qu'il s'habille un peu genre hippie, avec des vieilles fringues, qu'il a les cheveux en pétard et qu'il a toujours l'air défoncé alors qu'il touche pas à la drogue, c'est juste qu'il a toujours l'air dans ses pensées x) ).

    Donc, ce perso serait un mec (pour une fois! =P). Son pouvoir, comme dit plus haut, se serait de comprendre toutes les langues existantes, ça concerne les codes informatiques, les messages codés et les langues naturelles et inventées, entre autre. En fait, ça marche un peu bizarrement son truc, ça créer plus ou moins une connexion entre ce qu'il entend/lit et la signification associée au mot/à la phrase en question dans l'esprit de la personne qui l'a dit/écrit en premier, mais aussi dans l'esprit collectif.

    Par ex, imaginons qu'il lise le mot "chaussette". Il aura en gros deux "lectures" de ce mot : la lecture de la personne qui l'a écrit, qui pensait logiquement à une chaussette s'il est français, et la lecture "collective", à savoir la façon dont la plupart des gens (ici tout ceux qui parlent français en l"occurrence) comprennent ce mot. Bon, au début, se serait assez flou, les deux sont mêlés, mais au fur et à mesure que son pouvoir s'affine, il pourrait savoir si quelqu'un donne un sens différent au mot "chaussette" que la majorité des gens, genre si quelqu'un donne un sens différent à ce mot (il pourrait exister un homonyme dans une autre langue par ex) ou ça pourrait lui faire penser au Donjon de Naheulbeuk même si il ne connaît même pas la série x) Simplement parce que des gens y pensent et que du coup ce lien avec le mot "chaussette" lui apparaît aussi.

    Autre exemple, imaginons que vous créez une langue inventée, une idéolangue ou conlang donc. Vous pouvez par exemple sortir, tout d'un coup, le mot yastrr et décider que ça veut dire "herbe". Eh bien mon perso le saura aussi dès lors qu'il lira ce mot écrit comme ça, même si c'est pas la personne qui lui a donné ce sens qui l'a écrit, ceci dit selon son degré de maîtrise de son pouvoir et selon le degré d'évolution de ce dernier, ça marche plus ou moins évidemment. Par contre, tant que vous n'y avait pas pensé, il ne pourra pas faire le lien entre "yastrr" et "herbe". Cette capacité là ne serait pas là à la base mais pourrait se développer petit à petit, et ça le rendrait redoutable pour déchiffrer les messages codés car il serait capable de savoir à quoi pensait la personne en l'écrivant, ce qui lui permettra plus ou moins de le décoder (ça dépend quand même de à quoi pensait la personne en écrivant son code, mais même si elle connait son code par cœur à la manière d'une langue étrangère, mon perso saura à quoi ça correspond et comment ça fonctionne etc...).

    Voilà, je crois que c'est bon pour cette idée, je voulais juste la noter ^^ Même si j'ai la flemme d'en faire un perso sur un fow de X-Men x)


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  • Râh, ça m'énerve, j'ai eu plusieurs idées la concernant l'autre jour et je pensais m'en souvenir mais j'ai la nette impression d'en avoir oublié pas mal >< Enfin bref, tant pis! En même temps j'ai eu ces idées le soir, dans mon lis, alors c'est pas l'idéal pour pouvoir les noter (j'avais carrément la flemme de bouger xD).

    Alors, j'y avais déjà pensé mais je l'avais noté nulle part je crois : Saphir ne sait pas forcément lire, ou alors pas bien. Et elle est assez garçon manqué au point qu'en ville, certains peuvent la confondre avec un mec.

    Je sais, je devrais dire ça dans l'histoire plutôt mais j'ai pas le temps d'écrire et faudrait que je relise l'histoire en question pour me remémorer et la continuer, tout ça. 'fin bref (et quand je posterais faudrait que je raccourcisse l'histoire aussi, je pourrais toujours poster les détails dans la partie "Biographie" du forum).

    Donc, tant que j'y suis, autant expliquer un peu : pourquoi est-ce que Saphir ne saurait pas lire? Tout bête : à la ferme, il y a des livres, certes, mais elle avait autre chose à faire qu'à les lire. Elle est curieuse mais les livres ne l'attirent pas, ceux qu'ils possèdent sont vieux et sentent le renfermé, et dans le cas des romans, elle préfère quand on les lui lit, elle trouve que ça l'emmène plus dans l'histoire et elle doute de pouvoir retrouver ça en lisant.

    Mais du coup, je ne sais pas si elle ne sait vraiment pas lire du tout ou si elle a les bases mais qu'elle lit mal et lentement. Dans tous les cas, les livres sont une suite de lettres indéchiffrables ou durs et longs à déchiffrer pour elle et c'est pour ça que ça ne lui fait pas envie, elle n'a pas conscience de tout le savoir qui peut y être stocké, surtout qu'ils en ont peu, elle a plus l'habitude de la "tradition orale", de demander à sa famille et tout.

    Quant à l'histoire du garçon manqué, eh bien j'en ai déjà parlé dans l'histoire, Saphir déteste les jupes et robes, elle trouve ça pas pratique, et elle se fou d'être féminine, voir même n'en a carrément pas envie, du coup elle peut avoir es coupes garçonnes, a toujours des fringues masculines et comme certains de ces centres d'intérêts et savoirs faire sont habituellement masculins (bricoler), c'est facile de confondre. Et ça énerve Erina de la voir aussi garçon manqué d'ailleurs.

    Voilà voilà, je pense que je vais m'arrêter là pour aujourd'hui ^^ Faudra quand même vraiment que j'essaye de finir son histoire un jour pour demander à Rilend et Syndrell leur avis "définitif" dessus, tout ça tout ça. Enfin j'ai aussi des RPs en retard à répondre donc bon... xD

    Ah, si, une dernière chose : je fais une fixation sur l'once en ce moment, donc je vais peut-être changer l'animal de Saphir pour un once ^^' De toute façon, le choix de l'animal est toujours compliqué xD Faut d'abord choisir entre : félin/loup ou rapace, puis choisir une espèce... Ah la la x)

    MJ : aussi, Saphir n'aurait pas le sens de l'orientation he Parce qu'elle ne sort pas souvent, donc elle n'a pas le temps de prendre des points de repères, et comme elle est accaparée par tout ce qu'elle voit, elle ne fait pas attention, tout ça. Du coup, elle a vite pris l'habitude de faire un hurlement (de loup) de localisation quand elle se perdait, et soit Stern soit Shela lui répondent (selon qui l'accompagne). Wala ^^


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